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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 14:47

PHOTOS A VENIR

 

 

Central Park De la Fontaine Bethesda, carrefour magique où tous les chemins se crosient, vous vous acehminerez à droite, direction le Boat House pour rejoindre le Conservatory Pound. Après avoir dépassé l'entrée le bar-restaurant du loeur de bâteaux, vous poursuivrez sur le sentier sur la droit en sous-bois puis s'ouvrria devant vous un immense espace dominé par un vaste bassin. Sans vous en rendre compte, vous serez passé côté Est du parc en ayant entamé vortre périple côté ouest en partant de la 69ème rue. Ici nous basculons dans un autre univers, celui de la féérie des contes.

 

The Conservatory Pound est en effet la porte ouverte sur le merveilleux et l'imaginaire. Ici, Alice vous attend haut d'un champignon géant en compagnie de ses singuliers compagnons.

 

Vos pas sont ici guidés par les récits magiques dont les mots rebondissent sur les eaux bleux du bassin, qui leur sert de réceptacle. Ici, les géants d'acier et de pierre vous toisent au dessus des arbres et dominent l'espace d'au qui semble s'étendre à l'infini devant vous.

 

Face au bassin, un autre homme de plume nous guette d'un oeil discert, un livre ouvert sur ses genoux. L'homme qui nous observe est Hans Christian Andersen, conteur et poète. Assis sur un banc, son chapeau-claque à ses côtés, une oie échappée de ses contes à ses pieds, l'écrivain nous invite les bras ouverts dans son univers.

 

L'espace qu'il préside face au vaste bassin dans l'encre bleu duquel il semble tremper sa plume et puiser son inspiration, est une aire de lecture appréciée. Les enfants y sont invités le week-end à venir écouter les récits merveilleux de l'auteur scandinave. Dans son manteau de bronze, l'homme apparaît plus vrai que nature. Il semble murmurer à nos oreilles des histoires qui appelent notre imaginaire, qui éveille la  part d'enfance qui demeure en nous.

 

En évoluant dans cet espace, nous ne sommes plus connectés à la réalité. On est entre ciel et terre, entre onirisme et légende. On se sruprend à lire par dessus l'épaule de l'écrivain les pages du livre qu'il tient ouvert sur ses genoux.

 

"Once upon a time"...il était une fois une exploration de Central Park qui avait commencé sous le signe de la découverte et qui s'était achevé un après-midi d'été par la magie d'in moment hors di temps par la magie d'un lieu et le miracle des mots.

 

Texte et photos : Brigitte MAROILLAT

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